Au préalable, quelques considérations de bon sens:
Les stades ne se remplissent plus, Gerland y compris. La part de la billetterie y est de plus en plus faible. On investirait donc dans un deuxième stade qui aurait du mal à se remplir ?
D'autres revenus viennent (théoriquement) compenser la faiblesse de la billetterie:
- les partenariats et la publicité,
- les droits marketing et TV,
- les produits de la marque et, pour finir,
- les produits de cessions des contrats joueurs.
Mais une fois la valeur marchande des joueurs réalisée (4), on se retrouve avec une équipe moins technique, des performances sportives moins bonnes et des revenus (1, 2, et 3) mécaniquement en baisse.
Seul le dernier poste (4) a jusque là permis d'en minorer l'incidence sur un niveau de résultats, malgré tout, négatifs, mais c'est un "fusil à un coup" difficile de réaliser par la suite d'autres plus-values de cession.
Slim Mazni, dans la dernière édition de Lyon Capitale, nous apporte un décriptage complet sur le "business model" d'OL Land, un article courageux qui sort de l'omerta lyonnaise sur ce sujet.
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