

Outre la destruction nette d’emplois, il convient également de qualifier la nature d’une partie des emplois qui ont été créés dans les services. En effet, une partie de ces emplois de plus en plus précaires n’apporte aucune contribution positive à la valeur ajoutée à notre économie et participe même à la dégradation de notre balance commerciale.

Dans le « foot business » ainsi que dans le projet «OL LAND», on reproduit les même erreurs, pour ne pas dire les mêmes «errements». On investit dans des infrastructures improductives, l’impact total des dépenses engagées (publiques et privées) sur le PIB dégagé est epsilonesque (1) et les créations d’emplois durables complétement inconnues (2).
1) On ne sait toujours pas quelles sont les dépenses qui pourraient être engagées par toutes les parties prenantes et le business plan d’OL Groupe n’est toujours pas connu, l’entrée à hauteur de 49% de Vinci dans cette opération pose de vraies interrogations sur la solidité du montage financier initial.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire