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mardi 7 mai 2013

Euro 2016... combien d'années de charges pour la France ?

Les Cahiers du Football, le magazine de foot et d'eau fraîche, vient de publier une excellente analyse sur le coût exorbitant du championnat d'Europe 2004 qui s'est tenu au Portugal.

Les mêmes erreurs sont-elles en train d'être reproduit pour l'Euro 2016 en France ?

En tout cas les poncifs sont les mêmes, les mêmes arguments trompeurs et fallacieux et les mêmes errements sur les effets "boosters" pour notre économie !

Un lire avec intérêt et à produire à tous nos hommes politiques qui dilapident toujours et encore les fonds publics plutôt que de les mobiliser pour l'économie réelle !





"... nous allons perdre de la croissance en construisant ces stades au lieu d'investir dans l'industrie, la manufacture ou le capital humain."




"... les leçons n'ont pas été retenues puisque l’Afrique du Sud s’est équipée pour 2010 d’une dizaine d’éléphants blancs (lire définition) que contemplent aujourd’hui, admiratifs sûrement, la bonne moitié de ses citoyens coincés sous le seuil de pauvreté.




"...clubs, tous financés à crédit, mêmes budgets branlants, même effondrement quand l’illusion économique a laissé place au réel. Un football dopé par la spéculation fondée sur quoi? (lire "Football de crise en Grèce" et "L'Olympiakos rafle la crise") Sur la culbute salvatrice d’un éventuel transfert réussi, sur les retombées d’un parcours européen jamais garanti, sur l’augmentation sans fin de droits télé fluctuants et forcément limités dans un pays de dix millions d’individus. Autrement dit, spéculation fondée sur de l’aléa. Le propre de toute spéculation qui se respecte, direz-vous."



"Une passion comme celle-ci ne s’achète pas, ne s’invente pas, mais elle permet tout. Notamment d’être déclaré d’intérêt public." 




"Mais "bâtir" est ici à prendre au figuré. Pas de béton, de loyers progressifs, de baux qui n’intéressent personne ni d’architectes mégalomanes. "





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